Nos modes de vies modernes dépendent pour une part essentielle de la production et de la consommation de matières non renouvelables, en particulier du pétrole. Ces sources d'énergies s'épuisent et posent des problèmes de transformation de ces modes de vie.

La logique du développement durable, réactivée à la fin des années 80, se fonde sur l'idée que « le développement durable satisfait les besoins de la génération actuelle sans compromettre les possibilités des générations futures à satisfaire les leurs » (Rapport Brundtland – 1987).

Autour de cet enjeu pour le présent et l'avenir, les déclarations et positions de principes n'ont cessé de s'exprimer, mais nos modes de vie continuent. Les pays riches ne veulent pas renoncer à leur confort et les pays en développement n'ont aucune envie de renoncer à leur croissance.

Le citoyen est en capacité de comprendre la situation et prêt à faire des efforts mais, le même, devenu consommateur, aspire à voyager, à acheter des biens de consommation au moindre prix, à se chauffer correctement l'hiver et se climatiser l'été.

Les stratégies dominantes de lutte contre l'appauvrissement des énergies non renouvelables se cristallisent sur l'éducation ou sur la morale, et privilégient l'approche très globale des causes. Chacun s'éveille au problème mais, considérant que tout seul il ne peut rien faire de déterminant, il observe et attend.

Le conflit citoyen/consommateur n'est pas prêt de cesser. Et le citoyen peut accuser le consommateur, le consommateur les élus, les élus les entreprises, les entreprises les états, les états les autres états.

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Que pouvons nous faire

La FSGT contribue à faire que le débat, dans ses propres rangs et dans le mouvement sportif, ne se confine pas à sa dimension éducative, morale et culpabilisante. Le mouvement sportif a édité « l'agenda 21 » autour de ces problématiques; C'est une œuvre utile mais il faut chercher à la prolonger et à lui donner une réelle dimension culturelle, économique et sociale afin qu'elle ne soit pas confinée seulement dans des problèmes d'environnement. Depuis 2006, la FSGT s’est saisie du problème.

Il est, en même temps, possible de mener des actions, qui s'inspirant de l'agenda 21 et des avancées réalisées par d’autres organismes du mouvement sportif, permettent d'accompagner concrètement les prises de conscience.

Le comité des Bouches du Rhône s'engage dans de nombreux domaines avec l'encouragement à utiliser des produits biodégradables lors des manifestations sportives, l'éducation de ses membres à la sauvegarde des espaces naturels.

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Parallèlement, Il est aussi signataire de chartes ou partenaire actif d'organismes de défense de l'environnement comme :

- le Parc National des Calanques :

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- le Grand Site Sainte Victoire :

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- le livre vert de la montagne :

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